M et Mme COQUEL N.
 27/01/02 19:36

arnaque a la construction

Bonjour,
J'espère que que vous souhaitez faire de votre site un outil d'aide et d'informations objectives à destination des candidats à la construction et non de servir la propagande de constructeurs verreux qui arnaquent des familles et font bonne figure devant une presse soudoyée.Npre réaction est assez vive nous en sommes conscient mais compte tenu de notre situation vous le comprendrez j'espère aisement:
En effet nous somme victime comme de nombreuses autres familles
d'un constructeur imcompétent et malhonete: la société Maison Individuelle (MIN) marque Maison familiale: malfaçons en tout genre, chantage, retard de livraison d'1 an et ce constructeur nous impose des conditions de logement précaires avec notre bébé de 2 mois, mon épouse a été contrainte d'aller loger chez ses parents dans l'attente d'une décision de justice qui tarde. Vous pensez que nous exagérons, que nous sommes mal informé ou mal conseillé et bien non nous avons toutes les preuves et avons fait toutes les démarches possibles et imaginables. Je vous conseille de visiter notre site www.faireconstruire.fr.st pour comprendre de quoi ces gens sont capables. Désormais nous feront un maximum de pubicité sur ce site pour dénoncer ces pratiques qui déhonorent la profession et plonge la vie de familles dans le cauchemar.
Dans l'attente de réactions de votre part...
Cdlt
M et Mme COQUEL
[www.faireconstruire.fr.st]

che
 14/12/06 15:47
Bonjour !

J'ai vu dans le forum votre mécontentement. Je suis membre d'une association de défense des maîtres d'ouvrage et j'essaie de comprendre pourquoi ces gens-là ont "plus" intérêt à ce que les choses se passent mal, dans certains cas, et pourquoi la "garantie de livraison à prix et délais convenus" qui est systématiquement mise en avant par la profession est un leurre qui ajoute la déception au désespoir du client dès qu'il s'agit de la mettre en jeu.

J'ai compris que soit les choses se passent bien dès le départ, et on peut dormir tranquille, soit cela se passe mal, et très vite tout diverge, avec souvent une fin devant les tribunaux : il n'y a pas d'un côté de bons constructeurs et de l'autre des mauvais mais des chantiers qui se passent très bien et d'autres qui se passent très mal ... Pourquoi ? J'ai découvert, dans le périmètre de mon enquête (un exercice qui a coûté quatre ans de ma vie), que les chantiers qui se passent mal avaient un garant "médiocre" (étranger en ce qui me concerne), ce qui veut dire que la catastrophe était annoncée avant la pose du premier parpaing ... Les clients éloignés qui faisaient construire une résidence secondaire étaient beaucoup plus malmenés que les autres ... Et ceux qui sont attentifs à la qualité de la construction, patatra, crac, boum, on les assassine ! Ce qui veut dire que le client ingénieur ou technicien aura droit en priorité aux plus mauvais ouvriers, histoire de le rendre fou ...

Ce n'est pas un hasard si les constructeurs arrivent à battre en brèche les lois de la statistique ... On peut gagner beaucoup plus d'argent en faisant mal qu'en faisant bien, et tant pis pour le pauvre maître d'ouvrage, celui qui a mis le fruit de son travail dans un rêve de villa.

J'ai entre les mains trois décisions de justice qui concerne le même garant : là, le scandale est que les mêmes problèmes peuvent être jugés dans un sens ou dans l'autre, suivant que l'on se trouve à Marseille, Draguignan ou Bayonne !

Je suis en train de rédiger un livre et votre témoignage m'intéresse. J'ai pris cette décision après avoir constaté que je retrouvais le nom du promoteur à qui j'avais acheté ma maison parisienne il y a vingt ans chez un courtier qui touche mon second projet, cette fois dans le sud de la France, et après avoir lu dans le dernier livre de Jacques ATTALI que dans le nouveau monde qui nous attend ce sont les assurances et leurs règles qui remplacent la justice et ses lois. Il faut donc que les français se réveillent s'ils ne veulent pas voir notre beau pays pris en otage par des puissances économiques "mondialisées" qui ont comme objectifs l'aliénation de l'individu (je le répète, ces gens-là ont comme objectifs de rendre fou le particulier qui leur résiste).

Voici ce que j'ai vécu et mes conclusions.

Quand les constructeurs passent plus de temps à démolir et reconstruire qu'à construire,
Quand l'assurance - une filiale d'un des plus puissants groupes industriels au monde - évite ses obligations même après une saisie bancaire, accumulant tous les recours possibles pour annuler la "garantie" obtenue, fabriquant de faux témoignages pour rejeter la faute sur le client,
Quand le maître d'ouvrage doit affronter trois fausses tentatives de transaction et deux expertises judiciaires interrompues de manière théâtrale alors qu'il pouvait terminer les travaux rapidement lui-même au moindre coût pour tout le monde,
Quand les équipes se succèdent avec toujours les mêmes tares (pas de chef de chantier, des ouvriers incapables de lire un plan, les palettes transformées en échelle ou coffrage du béton),
Quand des malfaçons menaçant la solidité de la structure sont reproduites, les ouvriers n'hésitant pas à sceller une poutre de 7 m pour 300 kg sur l'épaisseur du crépis (1 cm),
Quand la maison n'est toujours pas achevée six ans après la signature du contrat et que seul le maître d'ouvrage s'inquiète de la perte du crédit et de la validité du permis alors que le terrain est devenu inconstructible,
Quand au bout de huit ans après la signature, il n'a pas obtenu un euro de l'assurance malgré de nombreuses demandes devant les tribunaux,
Quand le client n'a pas d'autres choix que de vendre le bien au prix du terrain pour payer son avocat mais que c'est le directeur général de la société de courtage - l'une des plus grosses fortunes de France - qui découvre en un temps record le panneau " à vendre ",
Quand le Tribunal de Grande Instance de Paris bafoue la règle de territorialité des huissiers en autorisant l'un d'eux - pas n'importe qui, celui que l'on trouve dans les émissions de télévision - à visiter tous les chantiers de l'assurance avant de créer une société avec leur directeur juridique et quand parallèlement l'accès au terrain est interdit au maître d'ouvrage,
Quand l'assurance nomme un maçon à la fois maître d'oeuvre et entreprise exécutante, quand il réussi à se faire payer la reconstruction des fondations alors qu'elles ont été conservées, quand un expert judiciaire évite tout sondage compromettant malgré huit réunions sur place et qu'au bout de trois ans son rapport n'a toujours pas été rédigé bien que payé,
... on peut se poser la question si la construction ne contribue pas fortement à l'appauvrissement des classes moyennes, la cible des constructeurs, et à l'enrichissement des gens du métier, constructeurs bien sûr, mais aussi promoteurs, assurances, experts, huissiers, avocats, notaires, tous réunis dans la même carambouille.
... on peut se poser la question de la partialité de la justice française qui semble se complaire dans un rôle de spectateur peu sensible à la souffrance des victimes et pas très cohérente avec elle-même.
... on peut se poser la question si tout ceci n'est pas responsable de la flambée des prix, les clients qui suivent devant obligatoirement éponger les déficits précédents.
... on peut se poser la question si un jour une charpente "traditionnelle" ou un étage ne s'écroulera pas sur la tête des occupants.

Il faut savoir que l'actuel directeur général de l'assurance est un docteur en droit spécialiste de la construction inachevée (il a présenté un papier sur ce thème à une assemblée d'experts judiciaires en 1998), ancien directeur juridique de deux assurances spécialisées dans la construction dont l'une a été créée par le fondeur de l'Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles, ancien président de l'Association des Garants de l'Immobilier ...

N'hésitez pas à me contacter.

sylvano
 30/07/07 17:31
95
bonjour Monsieur ,

Je me permets de faire appel à vos services étant donné que vous êtes un fin connaisseur du bâtiment .
Je vais bientôt devoir signer mon contrat de construction de maison individuelle ce mois ci mais précédemment à cela:

1) mon constructeur m' a trouvé un terrain par le biais d'une agence immobilière
2)le jour même de la visite du terrain ,j'ai décidé d'acheter le terrain et le constructeur m'a fait réservé une construction à l'aide d'un contrat de construction....
3)ensuite il m'a conseillé de faire une étude de sol à 1600 euros , et l'étude de sol m'oblige à renforcer les fondations , ce qui coûtera 3000 euros de plus.J'ai déja payé l'étude de sol.

Est ce que je peux réclamer le remboursement des 1600 euros et la prise en charge des fondations alors que je n'ai pas un contrat en bonne et dûe forme de signer , ni les plans signer et que je n'ai pas signer de notice descriptive ???

merci d'avance pour votre aide

yan1yan1
 04/06/08 14:19
95
POUR NE PLUS VOUS FAIRE AVOIR VISITEZ CE SITE
[www.everyoneweb.fr]

octave
 04/06/08 14:53
Pour SYLVANO

Il n'avait pas le droit de vous faire signer un contrat. Si le terrain vous intéresse, vous devez faire affaire avec l'agence immobilière et ensuite choisir votre constructeur.
Le jour de la signature d'un contrat, la loi précise qu'il doit être accompagné des plan signés par les 2 partie ainsi que la notice descriptive de la construction devant comprendre les adaptions au sol si nécessaire. Donc l'étude de sol aurait du être faite avant, et la loi indique qu'elle est à la charge du constructeur, donc comprise dans le prix convenu.
Votre contrat est nul, et si votre cst dit le contraire, alors dites lui qu'il vous doit l'étude de sol, et que le supplément de prix est pour sa pomme...

pour CHE

j'adhère totalement à votre vision du monde de la CONSTRUCTION.

octave.

faf62
 04/06/08 15:39
bon courage à tous, c'est pas grand chose mais ça fait du bien.
faf62

cocooo
 04/06/08 17:55
Bonjour a tous,

M. et Mme Coquel je vous souhaite du courage....

Comment une societé comme GEOXIA peut agir ainsi....c'est triste

Chez AAMOI ils sont en noir....je comprend pourquoi....

loloa
 04/06/08 18:13
che a écrit:
-------------------------------------------------------
> Bonjour !
>
> J'ai vu dans le forum votre mécontentement. Je
> suis membre d'une association de défense des
> maîtres d'ouvrage et j'essaie de comprendre
> pourquoi ces gens-là ont "plus" intérêt à ce que
> les choses se passent mal, dans certains cas, et
> pourquoi la "garantie de livraison à prix et
> délais convenus" qui est systématiquement mise en
> avant par la profession est un leurre qui ajoute
> la déception au désespoir du client dès qu'il
> s'agit de la mettre en jeu.
>
> J'ai compris que soit les choses se passent bien
> dès le départ, et on peut dormir tranquille, soit
> cela se passe mal, et très vite tout diverge, avec
> souvent une fin devant les tribunaux : il n'y a
> pas d'un côté de bons constructeurs et de l'autre
> des mauvais mais des chantiers qui se passent très
> bien et d'autres qui se passent très mal ...
> Pourquoi ? J'ai découvert, dans le périmètre de
> mon enquête (un exercice qui a coûté quatre ans de
> ma vie), que les chantiers qui se passent mal
> avaient un garant "médiocre" (étranger en ce qui
> me concerne), ce qui veut dire que la catastrophe
> était annoncée avant la pose du premier parpaing
> ... Les clients éloignés qui faisaient construire
> une résidence secondaire étaient beaucoup plus
> malmenés que les autres ... Et ceux qui sont
> attentifs à la qualité de la construction,
> patatra, crac, boum, on les assassine ! Ce qui
> veut dire que le client ingénieur ou technicien
> aura droit en priorité aux plus mauvais ouvriers,
> histoire de le rendre fou ...
>
> Ce n'est pas un hasard si les constructeurs
> arrivent à battre en brèche les lois de la
> statistique ... On peut gagner beaucoup plus
> d'argent en faisant mal qu'en faisant bien, et
> tant pis pour le pauvre maître d'ouvrage, celui
> qui a mis le fruit de son travail dans un rêve de
> villa.
>
> J'ai entre les mains trois décisions de justice
> qui concerne le même garant : là, le scandale est
> que les mêmes problèmes peuvent être jugés dans un
> sens ou dans l'autre, suivant que l'on se trouve à
> Marseille, Draguignan ou Bayonne !
>
> Je suis en train de rédiger un livre et votre
> témoignage m'intéresse. J'ai pris cette décision
> après avoir constaté que je retrouvais le nom du
> promoteur à qui j'avais acheté ma maison
> parisienne il y a vingt ans chez un courtier qui
> touche mon second projet, cette fois dans le sud
> de la France, et après avoir lu dans le dernier
> livre de Jacques ATTALI que dans le nouveau monde
> qui nous attend ce sont les assurances et leurs
> règles qui remplacent la justice et ses lois. Il
> faut donc que les français se réveillent s'ils ne
> veulent pas voir notre beau pays pris en otage par
> des puissances économiques "mondialisées" qui ont
> comme objectifs l'aliénation de l'individu (je le
> répète, ces gens-là ont comme objectifs de rendre
> fou le particulier qui leur résiste).
>
> Voici ce que j'ai vécu et mes conclusions.
>
> Quand les constructeurs passent plus de temps à
> démolir et reconstruire qu'à construire,
> Quand l'assurance - une filiale d'un des plus
> puissants groupes industriels au monde - évite ses
> obligations même après une saisie bancaire,
> accumulant tous les recours possibles pour annuler
> la "garantie" obtenue, fabriquant de faux
> témoignages pour rejeter la faute sur le client,
> Quand le maître d'ouvrage doit affronter trois
> fausses tentatives de transaction et deux
> expertises judiciaires interrompues de manière
> théâtrale alors qu'il pouvait terminer les travaux
> rapidement lui-même au moindre coût pour tout le
> monde,
> Quand les équipes se succèdent avec toujours les
> mêmes tares (pas de chef de chantier, des ouvriers
> incapables de lire un plan, les palettes
> transformées en échelle ou coffrage du béton),
> Quand des malfaçons menaçant la solidité de la
> structure sont reproduites, les ouvriers
> n'hésitant pas à sceller une poutre de 7 m pour
> 300 kg sur l'épaisseur du crépis (1 cm),
> Quand la maison n'est toujours pas achevée six ans
> après la signature du contrat et que seul le
> maître d'ouvrage s'inquiète de la perte du crédit
> et de la validité du permis alors que le terrain
> est devenu inconstructible,
> Quand au bout de huit ans après la signature, il
> n'a pas obtenu un euro de l'assurance malgré de
> nombreuses demandes devant les tribunaux,
> Quand le client n'a pas d'autres choix que de
> vendre le bien au prix du terrain pour payer son
> avocat mais que c'est le directeur général de la
> société de courtage - l'une des plus grosses
> fortunes de France - qui découvre en un temps
> record le panneau " à vendre ",
> Quand le Tribunal de Grande Instance de Paris
> bafoue la règle de territorialité des huissiers en
> autorisant l'un d'eux - pas n'importe qui, celui
> que l'on trouve dans les émissions de télévision -
> à visiter tous les chantiers de l'assurance avant
> de créer une société avec leur directeur juridique
> et quand parallèlement l'accès au terrain est
> interdit au maître d'ouvrage,
> Quand l'assurance nomme un maçon à la fois maître
> d'oeuvre et entreprise exécutante, quand il réussi
> à se faire payer la reconstruction des fondations
> alors qu'elles ont été conservées, quand un expert
> judiciaire évite tout sondage compromettant malgré
> huit réunions sur place et qu'au bout de trois ans
> son rapport n'a toujours pas été rédigé bien que
> payé,
> ... on peut se poser la question si la
> construction ne contribue pas fortement à
> l'appauvrissement des classes moyennes, la cible
> des constructeurs, et à l'enrichissement des gens
> du métier, constructeurs bien sûr, mais aussi
> promoteurs, assurances, experts, huissiers,
> avocats, notaires, tous réunis dans la même
> carambouille.
> ... on peut se poser la question de la partialité
> de la justice française qui semble se complaire
> dans un rôle de spectateur peu sensible à la
> souffrance des victimes et pas très cohérente avec
> elle-même.
> ... on peut se poser la question si tout ceci
> n'est pas responsable de la flambée des prix, les
> clients qui suivent devant obligatoirement éponger
> les déficits précédents.
> ... on peut se poser la question si un jour une
> charpente "traditionnelle" ou un étage ne
> s'écroulera pas sur la tête des occupants.
>
> Il faut savoir que l'actuel directeur général de
> l'assurance est un docteur en droit spécialiste de
> la construction inachevée (il a présenté un papier
> sur ce thème à une assemblée d'experts judiciaires
> en 1998), ancien directeur juridique de deux
> assurances spécialisées dans la construction dont
> l'une a été créée par le fondeur de l'Union
> Nationale des Constructeurs de Maisons
> Individuelles, ancien président de l'Association
> des Garants de l'Immobilier ...
>
> N'hésitez pas à me contacter.


Bonjour,

Que faire alors, comment faire confiance, se faire passer pourquoi, employé pauvre? Comment se protéger? Etc...

Conseillez nous

Merci d'avance pour vos réponses

natha59
 04/06/08 21:37
chers m. et mme coquel

j'en ai marre !!!! tous les jours je cherche un peu de réconfort en visitant les forums , les blogs, et à chaque fois je trouve une nouvelle victime de GEOXIA !!!!!
j'ai fait un blog sur lequel on me laisse des témoignages affligeants !!!!!!!!!!!
j'ai même été contacté pour aller voir un chantier épouvantable près de chez moi ! une horreur que MF ne veut pas démolir !!!
que peut on faire face à ce groupe FINANCIER et non CONSTRUCTEUR ?

si quelqu'un a une idée ! Ils profitent du fait qu'une bataille juridique est longue et couteuse,.
Ils savent que notre budget ne le permet pas et profitent aussi de notre crédulité.... Il y a des gens en prison qui ont fait bien moins que ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

[mamaisonfamliale59.blog4ever.com]

cocooo
 17/06/08 00:35
Bonsoir a tous,

Et surtout bon courage...

 


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